En 2010, lors d’une intervention à Saint-Georges, un inspecteur de la zone Meuse-Hesbaye a eu l’ongle arraché. Quatre ans plus tard, la douleur est toujours là et elle le restera de manière permanente, a expliqué son avocat, Me Wilmotte, ce mardi, au tribunal correctionnel de Huy où l’auteur de cette violente rébellion était jugé.
En 2010, lors d’une intervention à Saint-Georges, un inspecteur de la zone Meuse-Hesbaye a eu l’ongle arraché. Quatre ans plus tard, la douleur est toujours là et elle le restera de manière permanente, a expliqué son avocat, Me Wilmotte, ce mardi, au tribunal correctionnel de Huy où l’auteur de cette violente rébellion était jugé.